« Les présences » de Caroline Bongrand
Valentine, 34 ans, graphiste free-lance, élève seule son petit Milo, onze ans, muet depuis toujours, alors qu’il entend parfaitement. Un jour, devant une publicité télévisée pour la Grèce, l’enfant se met, pour la première fois de son existence, à parler, et dans une langue inconnue, pour tout oublier l’instant d’après et retrouver son mutisme. Qu’arrive t-il à son fils ? Et pourquoi Salonique, cette ville dont elle ne sait rien, qui lui est en tout point étrangère ? Commence alors pour Valentine une quête des origines qui bouleversera leur vie.
Depuis 5 ans, Elon Musk « joue avec le feuj »…
Saviez-vous que Musk avait fait un certain nombre de commentaires qu’on pourrait qualifier par un gentil euphémisme d’inquiétants… Notamment en faisant la promotion de théories complotistes et antisémites…
Étude de la Torah : hémisphère droit ou hémisphère gauche ?
Le cerveau humain se divise en deux hémisphères, gauche et droit, qui ont des rôles différents dans notre façon de percevoir et d’interagir avec le monde. Il est fascinant de constater que la sagesse de la Torah et du Talmud anticipe cette division, offrant des perspectives intéressantes sur la manière dont nous pouvons envisager l’étude et l’interprétation de nos textes sacrés.
Salonique, la Jérusalem des Balkans
« Madre en Israel », ainsi l’appelaient en ladino ses fils. Refuge des exilés d’Espagne, Salonique fut pour des générations de Juifs sépharades, un havre de paix sans pareil. Véritable « Shtetl » en terre ottomane, la Jérusalem des Balkans accueillit dans son histoire des vagues successives de Juifs ibériques, d’Ashkénazes, et de Mizra’him, aux côtés des Romaniotes installés là depuis l’Antiquité, le tout formant, malgré leurs différences, une communauté florissante et inspirante. Un dossier nécessaire à l’occasion du 80e anniversaire de l’extermination des Juifs grecs par les nazis.
La Techouva de Rosh Hashana et Yom Kippour : un voyage spirituel à deux visages
Deux des jours les plus sacrés et significatifs du calendrier juif, Rosh Hashana et Yom Kippour, offrent des opportunités uniques pour pratiquer la Techouva. Cependant, bien que liées par cette notion, les approches de la Techouva lors de ces deux jours diffèrent. Quelle est la différence entre la Techouva de Rosh Hashana et celle de Yom Kippour ?
Yom Kippour et le jour d’avant
Le jeûne de Yom Kippour dure 25 heures. Il a pour vocation l’affaiblissement du corps afin que l’esprit soit ce jour-là en alerte. Le corps est le principal écran entre nous et le spirituel. Pourtant, lorsque l’on consulte le texte à propos de ce commandement annuel, il apparaît alors en filigrane des versets bibliques, un autre commandement tout à fait insolite.
Pupille de la Gestapo
Déporté à Buchenwald en janvier 1944, Max – Mordehaï – Goldmann a consigné dans un récit intitulé ironiquement « Pupille de la Gestapo », ses 17 mois de détention dans les camps de concentration du IIIème Reich. Son témoignage, unique à bien des égards, impressionne par les qualités humaines qu’il a su préserver au cœur de l’enfer.
Adon HaSeli’hot : liturgie juive
Certaines seli’hot, telles Adon HaSeli’hot se sont répandues dans de nombreuses communautés. Les auteurs de ces poèmes sont pour beaucoup anonymes, mais les noms de certains nous sont parvenus, tel notamment le célèbre Moïse Ibn Ezra.
Le pardon ou le Par-Don
La notion du pardon est difficile à saisir. Pour la comprendre, relisons un peu l’histoire biblique.
Comme un air de Medziboz…
Des philanthropes américains concernés par la pérennité du peuple juif ont fait construire dans le quartier résidentiel de Wesly Hills, à une heure de New York City, une synagogue qui ressemble étrangement à celle du Ba’al Chem Tov en Ukraine