Yedia vous invite à découvrir les histoires vraies de ceux et celles qui ont été des héros durant cette terrible journée du 7 Octobre 2024. De la grand mère du kibboutz, au policier de quartier, chacun a agit avec courage et don de soi pour sauver des proches ou ses voisins. Ces histoires véridiques ont été écrites spécialement pour être racontées aux enfants afin de transmettre et d’expliquer aux jeunes ce qui s’est passé. ’’Nos héros du 7 Octobre’’ est un projet d’Hadassa Ben Ari, la femme du chanteur Elhannan Ben Ari et il est diffusé en 3 langues.

Pé, dix-septième lettre de l’alphabet hébraïque. Pé signifie bouche. Le judaïsme nous enseigne que le monde a été créer par la parole. La parole peut être porteuse de vérité, de bienveillance et d’amour mais attention elle peut également être blessante, propager des mensonges, et de la haine.

Tsadik est la dix-huitième lettre de l’alphabet hébraique. En hébreu, Tsadik signifie « le sage » ou « le vertueux ». Sa racine, « tsedek » (צדק), se traduit par « justice ». Pratiquer la justice autour de soi, permet une élévation de la conscience.

Dans l’astrologie juive, le signe du bélier coïncide avec le mois de Nissan, et la fête de Pessah. Ce signe contient donc un fort potentiel de libération et d’affirmation de soi qui peut être mis aux services des autres dans la bienveillance, ou au contraire, avec orgueil, dans la guerre et la destruction.

Comment parler à nos enfants du drame du 7 octobre ? Hadassa Ben Ari, la femme du chanteur Hannan Ben Ari, a eu l’idée d’écrire des histoires vraies sur les actes d’héroïsme du 7 Octobre, militaires ou civils, dédiées aux enfants de 6 à 12 ans .

De nombreuses chansons israéliennes parlent de l’amour maternel. Quand leurs enfants partent à la guerre, les mères d’Israël vivent alors ces années-là en prières, et en pensées.

La trentaine, il a toujours été en quête de reconnaissance, mais c’est impossible : Alon est un héros de l’ombre. Celui que l’on ne remercie jamais, que l’on n’adule jamais. Vous ne verrez jamais la photo d’Alon en manchette d’un journal, ou bien dans un reportage des chaînes généralistes israélienne. Alon joue dans la cour des grands, on le préserve. Il est souvent dans les aéroports, à l’abri des radars, en quête de la prochaine mission.

Après un premier article sur les applications qui nous aident à pratiquer notre judaïsme, plongée dans l’univers des sites internet.

Sarah n’avait qu’un seul rêve, celui de partir vivre en Israël, mais tout l’en empêchait…un podcast d’Emmanuelle Adda