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Chavouot : D.ieu, Moïse et les anges

La fête de Chavouot nous permet de revivre un des évènements les plus décisifs non seulement de l’histoire juive, mais également de l’histoire de l’humanité : la Révélation et le don de la Torah sur le mont Sinaï à un peuple de plusieurs millions d’âmes, le peuple d’Israël.
Chavouot : D.ieu, Moïse et les anges,

 

Le Don lui-même

Cette Révélation semble être une évidence nécessaire, prévue depuis la création du monde. L’homme fut créé, semble-t-il, pour réaliser un projet divin et la Torah vient lui indiquer la marche à suivre ainsi que la morale nécessaire pour faciliter le vivre ensemble.

Pourtant, à notre grande surprise, le Talmud[1]Talmud de Babylone, Chabbat 88b nous raconte que la transmission de la Torah fut loin d’être aussi simple que prévue. Écoutons ce récit féérique avant d’essayer de pousser la réflexion un peu plus loin.

Lorsque Moïse grimpa sur le Mont Sinaï pour recevoir la Torah, les anges firent bloc pour l’en empêcher et s’adressèrent à D.ieu : « Que fait un humain parmi nous? »

D.ieu leur répondit, semble-t-il ingénument : « Il est venu recevoir la Torah. »

Les anges répliquèrent : « Tu voudrais donner ce trésor farouchement gardé depuis 974 générations avant la création du monde à un être de chair et de sang ? Laisse plutôt ta splendeur dans les cieux, donc chez nous ! »

Hachem ordonne alors à Moïse de répondre à ses contradicteurs, mais celui-ci hésite : « Maître du monde, je crains qu’ils ne me consument de leur haleine enflammée ! »

Mais Hachem l’encourage : « Agrippe mon Trône de gloire et réponds !” Moïse s’exécute et est aussitôt enveloppé d’une nuée protectrice.

Enhardi par le soutien divin, le guide d’Israël interroge : « Maître du Monde, qu’y a-t-il écrit dans cette Torah que tu souhaites me remettre ? », et D.ieu de répondre : « Je suis l’Éternel ton D.ieu qui t’as fait sortir d’Égypte. »

Et le prophète, devenu tribun, se tourne vers les anges : « Avez-vous séjourné en Égypte ? Avez-vous subi l’oppression ? Avez-vous senti le fouet mordre votre chair ? Pourquoi alors mériteriez-vous la Torah ? »

Mais la tirade ne s’arrête pas là, les questions fusent , d’une logique impitoyable : Qu’y a-t-il écrit d’autre ? » « Tu ne tueras point. Tu ne commettras point d’adultère. Tu ne voleras pas. »

« Y a-t-il, dans les mondes angéliques, jalousie, bas désirs ou haines meurtrières ? En quoi la Torah est-elle pour vous ? »

Écrasés par l’argumentation du prophète, les anges reconnaissent la justesse du jugement divin et, instantanément, leur dédain pour Moïse se transforme en une réelle affection, et ce, à tel point que chacun lui fit un cadeau. Même l’ange de la mort lui remit un présent : le secret de la Kétoret — de l’encens —, qui a le pouvoir de stopper la mort. Par la suite, lors de l’épidémie qui suivra la révolte de Korah, sous l’ordre de Moïse, le grand prêtre Aaron, équipé d’un encensoir, put arrêter les ravages de l’ange de la mort en se plaçant sur sa route[2]Nombres 17,13.

The End. Fin de l’histoire. Ou plutôt, début d’une nouvelle page de l’histoire pour l’humanité.

L’écriture ésotérique

Le récit est fascinant, certes, mais absolument incompréhensible à de nombreux titres : pourquoi les anges se sont-ils battus pour une Torah qu’ils semblent ne même pas connaître ? Et s’ils la connaissaient, pourquoi souhaitaient-ils garder un enseignement qui leur est si peu adapté ? Quel est l’argument génial et inattendu que Moïse a utilisé, qui fit basculer la balance en sa faveur et convainquit les anges de son bon droit ? La dialectique semble être, à première vue, d’une évidence presque surprenante.

Pour répondre à ces questions, il faut se rappeler un principe fondamental de l’étude de la partie homilétique, narrative du Talmud. Le Gaon de Vilna[3]Biourei haGra sur Baba Kama 92b  nous enseigne que lorsque l’on entend une parole triviale, vide de sens, chez une personne vraiment sensée, il faut soupçonner que s’y cache une sagesse particulièrement profonde. Il en va de même pour le Talmud : plus l’histoire est étrange, plus elle doit éveiller notre attention.

La Révélation de D.ieu à Moïse se compose de deux parties : la Torah écrite, contenue dans le Sefer Torah, et la Torah orale, transmise uniquement oralement, de maître à élève, depuis Moïse et de génération en génération. Lorsque les Sages d’Israël virent qu’à la suite des persécutions, la Torah orale risquait d’être oubliée, ils entreprirent la rédaction de ce qui deviendra le Talmud et qui recense cette tradition orale.

La partie législative et juridique fut soigneusement rédigée, mais lorsque vint le moment de mettre noir sur blanc les secrets de la Torah jusqu’alors uniquement révélés à quelques élus triés sur le volet, il y eut une hésitation : allait-on mettre à la portée de tous des notions qui pourraient être mal comprises, voire utilisées à mauvais escient ? Cependant, pouvait-on prendre le risque de laisser ces trésors de pensée en proie à l’oubli ? Il fallait écrire sans écrire, tout en écrivant quand même.

C’est ici qu’intervient ce que Léo Strauss et d’autres auteurs appellent « l’écriture ésotérique[4]Léo Strauss, voir entre autres La Philosophie et la loi (1935) ou Quelques remarques sur la science politique de Maïmonide et Fârâbî (1937)». Cet art d’écrire en clair-obscur permet de dissimuler, derrière un texte à priori trivial, un deuxième niveau de sens, voire même plus, qui ne serait accessible qu’aux initiés qui posséderaient les clés du texte. Pour le béotien, le texte raconte des historiettes et donne des petits conseils pratiques. Pour le sage, il révèle une profonde sagesse ancestrale héritée du Sinaï, cachée sous la croûte du sens premier.

C’est la raison pour laquelle nous allons relire ce texte à la loupe, guidés par les enseignements du Maharal[5]Rabbi Yéhouda Levaï ben Betzalel (1520, 1609), dit le Maharal, Rabbin de Prague, talmudiste et philosophe particulièrement génial du XVIe siècle . Les enseignements présentés ici proviennent … Continue reading, en recherchant les notions clés, souvent cachées dans les petits détails, pour entrevoir quelques notions de ce que cache ce récit pittoresque.

D.ieu, Moïse et les anges

Tout d’abord, comprenons bien que lorsque le texte parle ici d’une discussion triangulaire entre D.ieu, les anges et Moïse, il ne s’agit pas d’un échange réel de vues mais d’une vérité incontournable que l’existence de l’ange proclame et à laquelle l’homme doit fournir une réponse valable. Pour recevoir la Torah, l’homme doit pouvoir résoudre l’objection que constitue l’existence d’un être spirituel parfait — l’ange —, critique vivante de l’imperfection humaine. Sans réponse, il n’y a pas de don de la Torah possible.

Le refus des anges

L’ange ne s’oppose pas à Moïse personnellement mais à l’être humain, pétri de matière, ce qui le rend, aux yeux des anges, inapte à recevoir  la Torah purement spirituelle.

La réponse à priori ingénue de D.ieu est que Moïse est exceptionnel. C’est un homme amené, par un long labeur personnel, à la perfection du genre humain. C’est l’homme de D.ieu[6]Dévarim 33,1 interface entre la matière et l’esprit, qui constituera le canal par lequel la Torah peut parvenir au genre humain.

Les anges mettent en avant l’ancienneté de la Torah, âgée de 1000 générations au jour dit — 974 avant la création du monde et 26 après, jusqu’au don de la Torah. L’argument est incompréhensible puisque seule la Création du monde fit apparaître le temps et la matière, rendant non pertinente la notion de génération avant ladite création.

En fait, la préséance reflète l’importance fondamentale d’une notion. De la même manière que l’architecte fait précéder l’objectif d’un projet et son plan à la réalisation pratique, la Torah est la vision du Grand Architecte pour laquelle ce monde a été formé. Elle le précède donc de loin. L’homme aura besoin d’une longue et minutieuse préparation pour rendre le monde fini de la matière apte à contenir l’esprit par essence infini.

L’ange est par essence différent de l’homme. L’ange — le Mala’h — est étymologiquement un Chalia’h — un envoyé —, une pure expression d’une mission divine. L’homme — Adam — est en revanche un hybride, mélange de terre — Adama — et de désir de ressembler au divin — Adamé Laélyon. Constamment tiraillé entre la matière et l’âme, l’homme est le seul à disposer du libre arbitre.

Mais aux yeux de l’ange, le libre arbitre est incompréhensible. N’ayant pas de tendance au mal, l’ange ne comprend pas la complexité du combat humain et ne reconnaît aucun mérite au Tsadik — au juste — qui a pu remporter cette lutte. L’ange ressemble au non-addict confronté au drogué en cure de désintoxication. La douleur indicible du manque lors du sevrage, qui l’amène à la limite de la folie, reste étrangère à l’observateur qui ne saisit pas pourquoi purger le corps de ses toxines serait difficile.

Mais pour les anges, les choses vont encore beaucoup plus loin. Le Juste, que nous admirons pour sa force de caractère et son courage dans la lutte contre le mal et le mensonge, est aux yeux des anges un immonde profanateur.

Prenons l’exemple d’un jeune adolescent dont le père a refusé de satisfaire le énième caprice. Pris d’une fureur meurtrière, sa main se lève et il s’apprête à frapper son dévoué géniteur. Un étranger, choqué par la scène, l’interrompt et lui explique à quel point son père l’aime, se soucie de lui et ne cherche que son bien. L’enfant, convaincu, laisse retomber sa main. Croyez-vous que la salle va se lever, enthousiaste, pour féliciter l’enfant de son geste héroïque de “Respect des parents”?  Sûrement pas !  À nos yeux, le simple fait qu’une idée aussi sacrilège ait pu effleurer son esprit malade est en soi le plus grand manque de respect possible ! Renoncer à ce projet méprisable ne fait pas de lui un exemple de moralité.

Aux yeux de l’ange, entité spirituelle parfaite, lorsque je me bats contre mes pulsions, le simple fait d’évoquer l’hypothèse d’agir contre la volonté divine revient littéralement à cracher au visage du Tout-Puissant. Comment un homme peut-il utiliser la santé que D.ieu lui a donnée, les membres et les biens dont il a été gratifié pour agir contre son divin bienfaiteur ? Il s’agirait ici d’une immonde trahison. Même l’homme juste ne peut trouver grâce aux yeux de l’ange.

C’est le sens de la terreur de Moïse. L’ange n’a pas besoin de parler pour détruire l’homme. Sa seule haleine, son existence parfaite remet en cause toute la légitimité de l’existence de l’humain doté de libre arbitre.

Le trône de gloire divin

Mais D.ieu souffle l’argument décisif à l’homme : « Agrippe-toi au Trône de gloire. »

Le Zohar[7]Zohar 3 29, ainsi que Talmud Hagiga 12b nous enseigne que l’âme de l’homme est sculptée de sous le Trône de gloire avant de débuter son périple dans ce monde troublé.

Si elle réussit à relever le défi et à accomplir la volonté de D.ieu, malgré toutes les tentations et les mensonges, elle réussit à créer, ex nihilo, la gloire divine dans ce monde. Après 120 ans, cette âme revient à cette même place d’où elle a été tirée et se délecte de la gloire divine qu’elle a elle-même créée et qui complète le Trône divin de gloire.

Cela, même l’ange ne peut y arriver. En effet, le seul oui qui ait de valeur est celui prononcé par celui qui pourrait dire non. Le seul honneur digne de ce nom est celui prodigué par celui qui pourrait faire l’inverse. Seul l’homme doté du libre arbitre peut créer la gloire divine sur terre. C’est le sens profond de la promesse vicieuse du serpent originel : « En consommant le fruit interdit, vous serez comme D.ieu et créerez des mondes. » Ce n’était pas un mensonge, car triompher de la confusion du bien et du mal est capable de créer un monde de gloire pour D.ieu.

Le Trône de gloire divin crée une nuée qui protège Moïse. L’effet d’un nuage est la filtration de la lumière solaire. Moïse comprit ici parfaitement l’allusion au corps, écran de matière dissimulant la lumière de l’âme et sa vérité. C’est cet effet de masque qui rend le mensonge et le libre arbitre possibles.

La réponse de Moïse

Et là, la réponse de Moïse fuse : « Qu’y a-t-il marqué exactement dans la Torah ? »

Le message de la Torah comprend plusieurs niveaux. Ne pas tuer signifie ne pas poignarder quelqu’un en plein cœur, mais aussi, à un niveau plus élevé, l’interdiction de faire honte à autrui en public car cette sensation est comparable à la mort. Ne pas voler nous interdit de se servir dans les sacs à main des vieilles dames mais nous impose aussi de respecter la propriété intellectuelle.

Les anges, eux, se délectaient de la partie profonde de la Torah, combinaisons des noms de D.ieu qui se révèlent dans la création. Par ses questions, Moïse vient ici mettre en exergue un détail : la Torah comporte aussi un niveau qui s’exprime dans le monde matériel. Ceci signifie bien que telle est la volonté divine. Hachem attend donc le travail de l’homme dans ce monde, car il est le seul à créer la gloire divine en transformant justement la dissimulation en révélation.

La soumission des anges

Confrontés à cette réalité irréfutable, l’ange entend que l’homme est seul capable de réaliser ce travail et s’associe à lui : il devient l’ami de Moïse. Il perçoit soudain que si les cohortes d’anges entourent le Trône divin, le visage de l’homme est, lui, gravé sur le Trône lui-même[8]Ezéchiel 1,26. L’homme peut être supérieur à l’ange.

La réaction de l’ange reste néanmoins réservée : il offre des cadeaux à Moïse ; non pas un tribut ou une association, mais un cadeau gratuit et non mérité. En effet, même après avoir accepté la preuve de Moïse, la supériorité de l’homme reste aux yeux de l’ange incompréhensible.

Le cadeau de l’ange de la mort exprime parfaitement le rôle de l’homme. La Kétoret — l’encens — peut arrêter la mort. L’ange tentateur, le Satan, ne fait qu’un avec l’ange accusateur et l’ange de la mort. Si le rôle du tentateur est de faire trébucher l’homme, son objectif n’est atteint que lorsque l’homme triomphe. Le Mal n’atteint sa perfection que lorsque le juste le transforme en gloire divine en lui résistant.

Selon le Zohar[9]Zohar 3,11, la signification du mot Kétoret en araméen provient du mot hébreu Kéchèr — le lien. Lorsque le Cohen a l’intention de connecter tout le peuple d’Israël avec le Tout-Puissant, qui est leur source de vie, alors la mort ne peut plus leur porter atteinte car même l’ange de la mort devient source de vie.

Pour compléter et conclure notre réflexion, il nous faudrait comprendre le récit que nous fait le Midrach, version légèrement différente de la rencontre entre Moïse et les anges.

Suite à l’opposition des anges à la venue de Moïse, Hachem modifia le visage de Moïse en une espèce de Face morphing, pour le faire apparaître comme Abraham[10]Béréchit 18,5. Les anges, qui avaient si bien été accueillis et hébergés par Abraham , ne purent se montrer ingrats et la Torah lui fut remise.

Texte surprenant au possible !

Mais d’après ce que nous avons découvert jusqu’à présent, le texte s’éclaire d’une lueur nouvelle.

L’homme est le seul à pouvoir créer la gloire divine et, par cela, est supérieur à l’ange. Certes, réplique l’ange, mais il faudrait pour cela que l’homme accomplisse la volonté de D.ieu de façon désintéressée, uniquement pour Sa gloire. Mais ceci est tout bonnement impossible ! L’homme est par définition égoïste et intéressé. Il fonctionne dans un monde égocentrique, où tout ne tourne qu’autour de son propre nombril. Même s’il est le seul à pouvoir construire le Trône de gloire divin, il ne le fera jamais, trop préoccupé par ses intérêts personnels.

La réponse de D.ieu passe par le visage du patriarche Abraham. Celui-ci a planté une nouvelle notion dans le patrimoine de l’humanité : le Hessed ou générosité. Il ouvre sa tente à tous et partage ses biens avec ceux qui en ont besoin. L’héritage d’Abraham se distille petit à petit et nous aide à penser à quelqu’un d’autre qu’à nous-même, à  nos souffrances et à nos besoins. L’humanité est désormais parfois capable de se mobiliser pour envoyer des missions humanitaires et sauver les victimes de famine ou de catastrophes naturelles.

Et c’est justement à travers ce travail que l’homme arrive à penser de façon désintéressée et parvient à servir D.ieu de façon parfaite. Comme l’exprimait si bien Lévinas[11]Voir, entre autres, Lévinas, Liberté et Commandement dans Transcendance et hauteur, la voie qui mène à D.ieu passe par Autrui.

Abraham et sa générosité sont les catalyseurs du don de la Torah, car il est impossible d’arriver jusqu’à D.ieu sans passer par l’Autre. C’est ce qui permet à l’homme de devenir supérieur à l’ange, s’il sait remplir son rôle.

Que chacun puisse mériter de révéler sa part personnelle dans la Torah !

Références

Références
1Talmud de Babylone, Chabbat 88b
2Nombres 17,13
3Biourei haGra sur Baba Kama 92b
4Léo Strauss, voir entre autres La Philosophie et la loi (1935) ou Quelques remarques sur la science politique de Maïmonide et Fârâbî (1937
5Rabbi Yéhouda Levaï ben Betzalel (1520, 1609), dit le Maharal, Rabbin de Prague, talmudiste et philosophe particulièrement génial du XVIe siècle . Les enseignements présentés ici proviennent de son Tiferet Israël, chap. 24.
6Dévarim 33,1
7Zohar 3 29, ainsi que Talmud Hagiga 12b
8Ezéchiel 1,26
9Zohar 3,11
10Béréchit 18,5
11Voir, entre autres, Lévinas, Liberté et Commandement dans Transcendance et hauteur

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