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Rabbi Shimon Bar Yohai : Maître de la Kabbale et de ses secrets

Qui était ce maître légendaire? Qu’est-ce que le livre du Zohar et l’enseignement de la Kabbale ? Pourquoi se réjouir le jour où un maître de son envergure nous a quittés, au lieu de s’attrister ? Pourquoi choisir spécialement d’allumer des brasiers à cette occasion ? C’est ce que Yedia vous invite à découvrir dans un passionnant voyage historique.
Rabbi Shimon Bar Yohai : Maître de la Kabbale et de ses secrets

Pour celui qui a la chance de se trouver en Israël à ce moment-là, le jour du Lag Baomer est une expérience hors du commun. Pendant des semaines, les enfants ont ramassé planches, branches, jusqu’au moindre cure-dents, qu’ils entassent dans toutes sortes de réserves secrètes. À la tombée de la nuit du Lag Baomer, des brasiers fleurissent de partout. Une flamme d’une joie débordante monte vers le ciel, entourée d’une multitude de jeunes et vieux, qui chantent et dansent en l’honneur d’un Maître du Talmud : Rabbi Shimon Bar Yohaï.

En parallèle, des centaines de milliers de personnes montent vers la montagne de Méron où se trouve le tombeau de Rabbi Shimon, le maître du Zohar et de la Kabbale — la partie ésotérique de la Torah. Cette petite colline du nord du pays semble devenir, pour 24 heures, le Cœur palpitant, le centre névralgique du pays.

Qui était ce maître légendaire? Qu’est-ce que le livre du Zohar et l’enseignement de la Kabbale ? Pourquoi se réjouir le jour où un maître de son envergure nous a quittés, au lieu de s’attrister ? Pourquoi choisir spécialement d’allumer des brasiers à cette occasion ? C’est ce que Yedia vous invite à découvrir dans un passionnant voyage historique.

Nous sommes au second siècle. La Terre d’Israël est exsangue, broyée sous les cothurnes romaines. Le Temple n’est plus que ruines fumantes. La Grande Révolte, écrasée dans le sang, a pris fin avec la chute de la forteresse de Massada.

Dans la maison de Yohaï, membre important de la tribu de Yéhouda, l’avenir est sombre. Il est pourtant riche, érudit et respecté. Sa femme, Sarah, descend en droite ligne des princes d’Israël et de Hillel l’ancien. Cependant, la maison de ce couple exemplaire reste désespérément vide et silencieuse. L’enfant attendu depuis tant d’années n’est toujours pas venu et Yohaï songe même à divorcer.

Pourtant, la nuit de Roch Hachana — le nouvel an juif —, Yohaï fait un rêve étrange : il se voit dans une vaste forêt, dont certains arbres sont secs et desséchés. Au loin, apparaît un homme d’aspect vénérable qui abreuve certains arbres avec l’eau de la cruche qu’il porte à l’épaule. Arrivé à la hauteur de Yohaï, il sort de sous sa tunique une petite fiole d’eau pure avec laquelle il arrose l’arbre sec de Yohaï. L’arbre se met à fleurir et se couvre de feuilles et de fruits appétissants.

Yohaï se réveille, bouleversé. Il comprend qu’en ce jour du jugement, ses innombrables prières ont été exaucées. Les arbres représentent les différents foyers, certains sont secs et stériles et d’autres fleurissent et accueillent des enfants. Mais que signifie donc cette petite fiole ?

Avec sa femme, ils vont consulter leur maître, Rabbi Akiva. L’explication est saisissante : « Sachez que Sarah était destinée à ne jamais avoir d’enfants. Mais cette fiole contient ses larmes accompagnant les prières qui ont permis de changer son destin. Vous allez donner naissance à un fils qui illuminera Israël par sa sagesse ! »[1]Rav Yossef Messas, Nahalat Avot, Tome III

Leur fils, le jeune Shimon, sera formé à ses débuts par Rabban Gamliel, Prince d’Israël, mais son maître par excellence restera Rabbi Akiva.

Rabbi Akiva avait plus de 24 000 élèves qui furent tous décimés par une terrible épidémie de diphtérie. Selon Rav Chrira Gaon — dans une lettre datée de 987 —, ces élèves furent massacrés lors de la guerre contre les Romains. Centenaire, Rabbi Akiva a la résilience incroyable de se relever de cette catastrophe et de former à nouveau cinq élèves. Rabbi Shimon est du nombre de ces élus avec, entre autres, Rabbi Méïr Baal Haness​​[2]Talmud de Babylone, Yebamot 62b

Il poursuit ses études durant 13 ans auprès de Rabbi Akiva. Même lorsque son maître sera emprisonné puis supplicié pour avoir enseigné la Torah, Rabbi Shimon le suit jusque dans sa cellule pour continuer à étudier[3]Talmud de Babylone, Pessahim 112a

Dans le but de neutraliser toute future velléité de révolte, Rome concentre ses attaques sur les sources d’inspiration des Juifs en interdisant, sous peine de mort, l’étude de la Torah et l’ordination rabbinique. En brisant la chaîne de la transmission, ils mettent ici en danger l’avenir du peuple juif tout entier. C’est pourquoi Rabbi Yéhouda ben Baba, au péril de sa vie, décide d’ordonner cinq nouveaux maîtres, dont Rabbi Shimon. Pour contourner le décret condamnant à la destruction toute ville abritant une telle cérémonie, il choisit la vallée entre Oucha et Shefaram. Mais les Romains ont eu vent de l’évènement. Si les élèves plus jeunes parviennent à s’échapper, le maître meurt, lardé de plus de 300 coups de lance[4]Talmud de Babylone, Sanhedrin 13b

La perte violente de ses deux maîtres nous permet de mieux comprendre la discussion qui aura lieu dans le vignoble de Yavné[5]Talmud de Babylone, Chabat 33b. Rabbi Yéhouda, confronté aux efforts romains de reconstruction du pays, suite à la fin de la révolte de Bar Kokhva, loue les avantages de la domination romaine. Ils ont, malgré tout, construit des ponts, installé des marchés et des thermes et développé l’économie. Si Rabbi Yossi garde le silence, Rabbi Shimon s’oppose violemment. Si les actes semblent positifs, l’intention est purement égoïste : ceci leur permet de prélever des impôts et, par impérialisme, de nous imposer leur culture et leur mode de vie. Comme on le retrouve souvent dans sa pensée, Rabbi Shimon recherche les raisons profondes, les moteurs tectoniques des actes.

Un témoin, Yéhouda ben Guérim, diffusera cette discussion qui arrivera aux oreilles des Romains. L’offense ne reste pas impunie : si Rabbi Yéhouda est récompensé, Rabbi Yossi est exilé et Rabbi Shimon condamné à mort. Poursuivi, il se cache avec son fils, Rabbi Élazar, tout d’abord dans une synagogue désaffectée puis enfin dans une grotte aux alentours de la ville de Peki’in. Il y restera 12 ans, se nourrissant de caroubes d’un arbre qui y a miraculeusement poussé et s’abreuvant à une source qui y a miraculeusement jailli. On notera que les initiales du mot caroube — Harouv en hébreu — et de l’eau de source — Maïm — ont pour valeur numérique 48, nombre d’éléments indispensables pour acquérir la sagesse de la Torah[6]Voir Maximes des Pères 6;6. C’est dans cette grotte, isolée du monde, qu’il va amener sa pensée à toute sa maturité et sa profondeur. Telle un fœtus dans la matrice, Rabbi Shimon, dans sa grotte, apprend la Torah et fait naître une nouvelle sagesse. Ses conclusions seront plus tard la base d’un ouvrage fondamental de la Kabbale : le Zohar.

Selon la tradition, c’est le prophète Élie en personne qui vient annoncer au père et au fils exilés la mort de César —  Antonin le Pieux et l’avènement de Marc Aurèle — et l’annulation du décret les menaçant. Après une si longue déconnexion, le choc de la confrontation à la vie séculière est violent. Rabbi Shimon et son fils ne comprennent pas comment, au lieu de s’adonner à l’étude, les gens s’abaissent à des activités aussi triviales que les semailles et le labour. De colère, ils brûlent les gens de leur regard. Du ciel, une voix tonne et leur enjoint de retourner dans la grotte : « Est-ce pour détruire Mon monde que vous êtes sortis? »

Pendant 12 nouveaux mois, ils reformuleront leur étude pour savoir l’appliquer non seulement dans les hautes sphères spirituelles, mais aussi dans un monde humain et donc matériel. Une fois sortis, si le regard de Rabbi Élazar continue à causer des dommages, celui de Rabbi Shimon, bienveillant, guérit. La rencontre avec la foi simple d’un Juif changera leur vision des hommes. Ils croisent un vieillard porteur de deux bouquets de myrte. Intrigués, ils l’interrogent. Les bouquets sont en l’honneur du Chabbat : l’un pour l’ordre de « Zakhor » — se rappeler du Chabbat — et l’autre pour « Chamor » — respecter le Chabbat. La relation d’amour qui relie le Juif à son D.ieu touche profondément ces maîtres qui perçoivent ici la part du plaisir matériel dans le service religieux, la nécessité de sublimer la matière et d’inclure le corps dans notre quête du divin.

Rabbi Shimon deviendra un des maîtres du Talmud dont le nom revient régulièrement parmi les maîtres de la quatrième génération des Tanaïm — les sages de la Michna. Sa pensée est toujours profonde, recherchant les racines de chaque notion. Digne élève de Rabbi Akiva qui voyait l’amour du prochain comme la base de toute la Torah, il dit préférer être jeté dans une fournaise ardente que de faire honte à autrui[7]Talmud de Babylone, Baba Metsia 59a
.

Si Rabbi Shimon est avant tout un maître de l’enseignement juif classique, c’est la facette mystique et miraculeuse que beaucoup retiendront. Lorsqu’il fallut intercéder auprès du pouvoir en place pour annuler les décrets interdisant le respect du Chabbat et la circoncision, c’est Rabbi Shimon qui est choisi, « étant coutumier des miracles »… Ayant guéri la princesse d’une force négative qui la rendait mentalement instable, l’empereur lui permet de choisir sa récompense dans les trésors royaux. Rabbi Shimon choisit les parchemins desdits décrets et les déchire, entraînant leur annulation[8]Talmud de Babylone, Meila 17b
.

Mais le point d’orgue de sa vie sera justement son dernier jour, relaté dans le Zohar — plus précisément dans la Idra Zouta. Voyant ses derniers instants arriver, il réunit ses élèves les plus proches et, sous sa dictée, leur révèle les secrets les plus profonds de son enseignement, ce qui lui était interdit auparavant. Le texte rapporte que devant la sainteté de ses paroles, un feu a entouré la maison, semblable au feu entourant le mont Sinaï lors de la Révélation. Ce jour était le 18 Iyar, 33e jour du Omer, aussi appelé Lag Baomer, qui était également la date de la naissance de Rabbi Shimon, celle de son ordination, ainsi que celle de son mariage.

C’est pour rappeler ce feu céleste que nous allumons des brasiers à Lag Baomer, plus particulièrement sur la tombe de Rabbi Shimon à Méron. En effet, selon la tradition, une colonne de feu précédant le tombeau montra le chemin jusqu’à cette fameuse grotte du mont Méron.

La partie la plus connue mais paradoxalement la moins étudiée de l’enseignement de Rabbi Shimon Bar Yohaï est la partie ésotérique, celle de la tradition secrète du judaïsme. En effet, dans ces domaines, celui qui sait ne parle pas, et celui qui parle, en général, ne sait pas. Ces secrets ne sont pas écrits explicitement, ils ne sont même pas transmis. La nature profonde et intime des notions ne peut être transmise par la simple parole. L’élève doit avoir suffisamment travaillé pour comprendre de lui-même, tandis que le maître lui transmet l’ordre, l’articulation et l’organisation des connaissances.

La Torah révélée, le monde de la Loi Juive, la Halakha, explorent les frontières entre le Bien et le Mal, d’un monde coupé en deux. Elle tire son énergie de l’arbre de la connaissance du Bien et du Mal qui se trouve dans le Jardin d’Éden. La Kabbale, elle, tire son énergie du second arbre qui se trouvait au centre du jardin : l’arbre de Vie. Elle dépasse la formulation dualiste pour arriver à l’essence même du monothéisme, où tout a un sens, y compris le mal, et nous enseigne l’unité suprême de la Création.

Ces enseignements peuvent s’avérer dangereux pour l’ignorant ou le non-initié qui pourraient justifier leurs transgressions et la satisfaction de leurs appétits par une unité suprême mal comprise. C’est pourquoi ces notions profondes sont habillées de paraboles dont seul le Sage, disposant des clés, peut percer le code.

Le kabbaliste n’est pas appelé Mékabel, celui qui reçoit la tradition, mais Mékoubal, celui qui est accepté. Le premier Mékoubal est donc le prophète qui s’est rendu digne d’être choisi par D.ieu pour recevoir une révélation et une parole et dont les prières sont acceptées. Les enseignements des prophètes sont définis par le Talmud comme Divrey Kabbala — paroles de Kabbale. Le kabbaliste est donc l’héritier de l’expérience prophétique et utilise les méthodes de connexion au divin du prophète qu’il retrouve dans la Kabbale.

Le Talmud[9]Talmud de Babylone, Haguiga divise la Kabbale en deux parties : Le Maassé Béréchit, décrivant l’origine et l’acte de Création du Monde, et le Maassé Merkava, la description du Char divin, expliquant comment D.ieu gère ce monde à travers Ses attributs et quelle influence nos plus petits actes peuvent avoir sur les mondes supérieurs.

Cette sagesse ancestrale se transmet depuis les temps anciens que certains font remonter à Abraham et son Séfer Yétsira — le livre de la Formation. Elle est reformulée au fur et à mesure des époques pour répondre aux besoins spirituels de chaque génération[10]Comme le développe très brillamment le Rav Ouri Cherki
.

Les premiers Mékoubalim sont donc les prophètes. La révélation et la parole divine directe sont la réponse sans appel à un monde mensonger où règnent les idoles remplissant les temples païens.

Lorsque la prophétie prend fin avec la fin du Premier Temple s’éteint l’idolâtrie. Il n’en reste plus que le mysticisme auquel répondra la sagesse de la Michna et les enseignements de Rabbi Shimon Bar Yohaï.

La pensée et la recherche philosophiques relèguent le mysticisme au rang de curiosité archaïque. La Kabbale de l’époque, guidée par le Ari Zal et ses élèves de la ville de Safed, fera face à la philosophie. Si le style de réflexion est semblable, la source est différente. La philosophie prend racine dans la pensée humaine, tandis que l’enseignement du Ari Zal se nourrit de la prophétie et des idées de Rabbi Shimon dans le Zohar, diffusé par Rabbi Moché de Léon, sage espagnol du XIIIe siècle.

La pensée humaine poursuit son cheminement et se concentre sur l’étude de la psyché avec l’avènement de la psychologie et de la psychanalyse. Dans le monde juif, deux mouvements basés sur la Kabbale — la Hassidout du Baal Chem Tov (1700-1760) et le Moussar de Rabbi Israël Lipkin Salanter (1810-1883) — prendront leur essor. Même si ces deux écoles de pensée utilisent des formulations et des champs lexicaux fondamentalement différents, elles ont en commun de mettre à la portée de tous les notions auparavant réservées aux Mékoubalim.

Certains veulent voir dans les profonds écrits du Rav Avraham Itshak Kook (1865-1935) la suite de ce processus de reformulation kabbalistique face au développement des dimensions collectives comme le communisme à gauche et le nationalisme à droite. La pensée du Rav Kook mettra en avant la dimension de sainteté du peuple d’Israël et sa réalisation sur la Terre d’Israël.

Contrairement au jour de décès de Moïse et de Aharon, commémoré par des jours de jeûne, le jour de Lag Baomer est un jour de joie débordante. Rabbi Tsadok Hacohen de Lublin (1823-1900) nous explique que ce choix étrange est en fait très profond. Lorsqu’un maître de la Torah écrite nous quitte, sa plume se pose et son enseignement s’arrête. En revanche, un maître de la Torah orale voit de son vivant son enseignement limité à ses élèves qui s’abreuvent à sa source. Lorsqu’il disparaît, les élèves diffusent son enseignement qui se trouve appartenir au peuple tout entier. Lag Baomer est un jour de joie car il fête la nationalisation de l’enseignement de Rabbi Shimon bar Yohaï, qui peut désormais se développer et s’approfondir encore et encore.

Rabbi Shimon Bar Yohaï continue à nous accompagner. C’est le seul maître de la Bible et du Talmud en l’honneur de qui un chant a été rédigé. Le célèbre et très profond Piyout « Bar Yohaï », que nous devons à Rabbi Shimon Lavi, kabbaliste faisant partie des expulsés d’Espagne, est entonné à Lag Baomer, mais aussi chaque vendredi soir dans certaines communautés.

Le Zohar fait désormais partie de notre vie. Nous en lisons des passages la veille de la circoncision d’un enfant, lors de la cérémonie du Brit Yitshak, lors de l’inauguration d’une maison, au moment de l’ouverture de l’Arche sainte avec le texte de « Berikh Chemeh ». Certains en lisent même quelques phrases tous les jours lors de l’étude quotidienne du Hok LéIsraël. Les maîtres de la Hassidout[11]Comme Rabbi Israël Dov Ber de Weledniki dans son Chéerit Israël ou Rabbi Aharon de Zitomir
nous enseignent que la simple lecture des mots du Zohar, sans les comprendre, nous connecte à une dimension qui nous dépasse.

Même si la majorité d’entre nous n’a pas encore accès à la profondeur de ses enseignements, la joie d’un peuple tout entier autour de Lag Baomer est la plus belle expression de fierté d’un peuple et de son attachement au message divin, introduction nécessaire à la réception de la Torah du jour de Chavouot.

Références

Références
1Rav Yossef Messas, Nahalat Avot, Tome III
2Talmud de Babylone, Yebamot 62b
3Talmud de Babylone, Pessahim 112a
4Talmud de Babylone, Sanhedrin 13b
5Talmud de Babylone, Chabat 33b
6Voir Maximes des Pères 6;6
7Talmud de Babylone, Baba Metsia 59a
8Talmud de Babylone, Meila 17b
9Talmud de Babylone, Haguiga
10Comme le développe très brillamment le Rav Ouri Cherki
11Comme Rabbi Israël Dov Ber de Weledniki dans son Chéerit Israël ou Rabbi Aharon de Zitomir

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